Correspondence from Auguste Rodin to Aleister Crowley

 

     

 

185 Rue de l'Universite.

 

 

14 Mar 1907.

 

 

Cher Monsieur G [sic] Crowley.

 

J'ai lu deux sonnets traduits et copiès avec soin sur un papier de luxe envoyès, par Monsiuer Schwob qui me semble a magnifiquement interpretè le poesie.

     

Vous avez fait deux qui sont deux oeuvres corrolaires aux miennes, elles expliquent rèellement le meme air que nous respirons. Je n'ai pas trouvè d'èloquence pareille pour le mystère et l'energia voilè de poesie, de qui rend l'impression mouvante et indefinie.

     

Du reste Cher Monsieur et ami je sais mieux mieux dans mon platre l'eloge de vos Sonnets de votre poèsie.

 

Avec mes sentiments de reconnaisance de Sculpteur à Poète.

 

A Rodin.

 

 

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